Qui fabrique le journal tous les jours en Ille-et-Vilaine ? N’y trouve-t-on que des mauvaises nouvelles ? À qui appartient Ouest-France ? Combien de journalistes proches de chez vous ? On répond à vos questions.
Tous les journalistes font du terrain
VRAI ET FAUX. « Le journalisme, c’est du temps passé à écouter les gens sur le terrain », insiste souvent François-Xavier Lefranc, président du directoire de Ouest-France. Le terrain, le terrain, le terrain. C’est là que sont les infos. C’est là qu’est la vraie vie.
En Ille-et-Vilaine, Ouest-France c’est 68 journalistes, dont 2 journalistes pigistes réguliers. Certains sont tous les jours sur le terrain, dans les rédactions de Rennes, Saint-Malo, Vitré, Fougères, Redon, au service Sports ou aux pages Région. Mais d’autres sont aussi dans des bureaux, rue du Pré-Botté, à Rennes. Ils travaillent l’après-midi et la nuit pour réceptionner toute la copie, jouer le rôle fondamental de « premiers lecteurs » avant toute parution sur les supports numériques (sites Internet ou applications mobiles) ou papier d’Ouest-France.
Des journalistes web sont aussi présents, en se relayant, chaque jour de 8 h 30 à 23 h, pour faire vivre nos pages Internet, rester en contact avec les collègues sur le terrain, mettre des informations en ligne avant que les collègues et consœurs ne reviennent de leurs reportages. Fiabilité, proximité, utilité, diversité des informations… voilà les exigences qui animent tous les journalistes de Ouest-France.
Ouest-France, ce n’est que des journalistes
FAUX. Il en faut du monde pour faire un journal ! En Ille-et-Vilaine, aux côtés des journalistes, on retrouve six assistants et assistantes de rédaction, une responsable administrative, des salariés des ventes, du marketing, de la distribution, sans oublier ceux d’Additi, la régie publicitaire du journal, et 181 correspondants, indépendants, qui couvrent quasiment les 333 communes du département.
Il n’y a que des mauvaises nouvelles dans le journal
FAUX. Évidemment, nous parlons des trains qui n’arrivent pas à l’heure, des faits divers, des polémiques, du monde qui craque… Mais nous avons aussi à cœur, chaque jour, de raconter les bonnes nouvelles, les initiatives heureuses, les choses qui fonctionnent, les idées originales de la très grande foule des anonymes, citoyennes et citoyens, associations, élus, entreprises, qui agissent partout au service du bien commun.
Depuis janvier, les équipes d’Ille-et-Vilaine ont publié 73 260 articles sur notre plateforme Internet. Et nous ne sommes pas lus que chez nous ! Notre production rayonne bien au-delà des frontières de l’Ille-et-Vilaine : 80 % des audiences numériques se font hors de la zone historique du journal papier (Pays de la Loire, Bretagne et Normandie).
En un an, nos articles et vidéos réalisés en Ille-et-Vilaine ont généré près de 120 millions de pages vues. À noter aussi que nos pages Facebook de Rennes, Saint-Malo, Redon, Fougères et Vitré totalisent désormais 183 100 abonnés. Et que vous pouvez nous retrouver aussi sur X (ex-Twitter) ou Instagram.
Ouest-France appartient à un milliardaire
FAUX. Et même tout faux ! Ouest-France, via le groupe Sipa-Ouest-France, n’a qu’un seul actionnaire : une association à but non-lucratif, l’Association pour le soutien des principes de la démocratie humaniste (ASPDH). C’est un gage d’indépendance éditoriale et de protection contre les appétits capitalistiques.
Plusieurs chartes éditoriales guident les journalistes dans leur délicat exercice quotidien, 365 jours (et souvent nuits) par an. Face aux urgences, ils peuvent se référer à ces guides fondamentaux sur le traitement calme et mesuré des faits divers, sur l’égalité hommes-femmes ou encore sur les questions environnementales, sujet technique et prioritaire sur lequel Ouest-France a entrepris de former l’ensemble de ses journalistes.
On peut se faire porter le journal chez soi le matin
VRAI. 900 porteurs de presse, livrent, chaque jour, le journal, diffusé à 111 400 exemplaires en Ille-et-Vilaine, à nos près de 84 000 fidèles abonnés brétilliens, mais aussi auprès de 900 diffuseurs de presse (tabac, boulangerie, maisons de presse et autres magasins). Salariés de 5 dépôts (des entreprises indépendantes de distribution de la presse réparties dans le département), ils assurent quotidiennement 550 tournées en semaine et 250 le dimanche. Nous recherchons d’ailleurs des porteurs. Les candidats peuvent contacter le 02 900 800 34 et découvrir cette activité, avec des vidéos-témoignages, sur https://www.ouest-france.fr/porteur-de-presse/
Pour nous contacter. Rennes : 02 99 29 69 00, redaction.rennes@ouest-france.fr. Redon : 02 99 70 32 70, redaction.redon@ouest-france.fr. Saint-Malo : 02 99 40 65 65, redaction.saint-malo@ouest-france.fr. Vitré : 02 23 55 11 00, redaction.vitre@ouest-france.fr. Fougères : 02 99 17 01 40, redaction.fougeres@ouest-france.fr.
À savoir : si vous avez entre 15 et 25 ans, Ouest-France vous propose un abonnement 100 % gratuit. Dans un contexte de défiance envers les médias et face à la diffusion massive de fausses informations, le journal renforce son engagement en donnant accès aux populations les plus jeunes à une information vérifiée.
À savoir aussi : sur laplace.ouest-france.fr, nos abonnés ont accès à de nombreuses invitations, cadeaux, rencontres, expériences…
Cet article, qui traite du thème « Ille-et-Vilaine numérique », vous est délibérément offert par web-ille-et-vilaine.com. La raison d’être de web-ille-et-vilaine.com est de parler de Ille-et-Vilaine numérique dans la transparence la plus générale en vous procurant la visibilité de tout ce qui est publié sur ce sujet sur le web La chronique a été générée de la manière la plus honnête que possible. S’il advenait que vous projetez d’apporter quelques notes concernant le domaine de « Ille-et-Vilaine numérique » vous avez la possibilité de d’échanger avec notre rédaction. Dans peu de temps, on mettra en ligne d’autres informations pertinentes autour du sujet « Ille-et-Vilaine numérique ». Ainsi, consultez régulièrement notre site.