Le groupe Ouest-France, qui détient le premier quotidien français du même nom, s’est porté candidat à une fréquence de la TNT, a appris mercredi l’AFP auprès de sa direction.
Ce mercredi 15 mai est la date butoir pour déposer un dossier de candidature auprès de l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel. Les titulaires seront choisis à l’été, pour 15 fréquences dont les autorisations arrivent à échéance en 2025.
Parmi les nouveaux prétendants figurent le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky et le groupe L’Express.
Le groupe Ouest-France, dont le siège est à Rennes en Bretagne, s’est, lui aussi, porté candidat à une fréquence. Il est déjà actionnaire de télévisions locales (TV Rennes, TV Nantes) et de radios locales. Le groupe emploie quelque 700 journalistes. Il diffuse le premier quotidien français, avec plus de
600.000 exemplaires payants en 2023.
Présent également sur le web, le groupe a une plateforme internet ouest-france.fr qui se place en deuxième position des sites d’actualités français en pages vues (658 millions en janvier 2024).
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