Il nous suit partout depuis notre naissance, le nom de famille est un marqueur de notre identité.

Il nous suit partout depuis notre naissance, le nom de famille est un marqueur de notre identité.
Pour autant, connaissez-vous son origine ?
Si vous voulez en savoir plus, un site internet peut vous renseigner.

Votre nom de famille en dit beaucoup sur vous et vos origines. Dans le reportage de TF1 ci-dessus, l’une de nos équipes se rend à Dinan (Côtes-d’Armor) et à Rennes (Ille-et-Vilaine) pour savoir si leurs habitants connaissent bien l’histoire de leurs noms de famille. Pour en savoir plus, elle s’appuie sur le site de généalogie français Geneanet. D’où vient votre patronyme ? Combien de gens ont le même que vous ? Quelle est sa signification ? Ou bien encore, quel est le plus répandu et pourquoi ? Geneanet permet de répondre à ces questions.

Car contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’apparition de nos patronymes n’est pas si ancienne. Cela remonte seulement au Moyen Âge. Jusqu’au XIe siècle, les personnes ne portaient qu’un nom de baptême. Les premiers noms de famille sont apparus à partir du XIIe. « Avec l’explosion démographique, il a fallu donner des noms de famille aux gens« , explique Sophie Clamaron, chargée de projet généalogie chez Geneanet, dans notre reportage. À la base, il s’agissait de surnoms afin de distinguer ceux qui portent le même prénom.

Certains faisaient référence au prénom du père (Martin, Michel…), d’autres à un lieu-dit (Rivière, Dubois…), à un nom de métier (Le Tanneur, Boulanger…), à une caractéristique physique (Le Borgne, Le Roux…) ou encore à un trait de caractère (Le Luron…). Puis, un long processus de fixation des noms de famille s’amorce à partir du XVᵉ siècle, explique le site internet du Cercle généalogique du Pays de Caux. La France est l’un des pays où les noms de famille sont les plus variés. Si certains patronymes ont près d’un millénaire, d’autres sont apparus bien plus récemment.

C’est le cas du nom de famille Bolival. « Mon arrière-grand-père, il a été déposé sur le parvis d’une église, comme ça se faisait beaucoup à l’époque. Il se trouvait dans un grand chapeau de paysan, qui s’appelait le bolivar. Et de bolivar, ça s’est transformé en Bolival« , raconte son descendant dans notre reportage.


M.D. | Reportage TF1 Kévin Gaignoux et Killian Moreau

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