« On menace de me mettre une balle, de m’égorger, de tuer nos enfants pour savoir ce que la mère de Nahel a ressenti. C’est ultra-violent et ça fait peur. » Ces mots, publiés par Sud-Ouest, sont de Florian M. Non pas le policier impliqué dans la mort du jeune Nahel, mais un ouvrier de Dordogne, qui a le malheur d’être son homonyme.
Le 29 juin, un tribunal correctionnel divulgue brièvement le nom et l’adresse du policier. S’en est suivie une chasse aux sorcières sur les réseaux sociaux. Et l’erreur a de lourdes conséquences pour l’ouvrier et sa famille. Leur domicile est désormais sous surveillance.
« Je ne sais pas ce qui se passe pour la femme du vrai policier, mais je me demande comment elle fait pour ne pas passer l’arme à gauche », explique son épouse. « En attendant, certains ont imaginé qu’il n’était pas en détention, mais caché en Dordogne… On est dans l’irréel ! »
« C’est de l’acharnement. On ne peut pas faire ça », reprend Florian M. « C’est de la bêtise. Il faut expliquer à ceux qui font ça que ça ne sert à rien. »
Le harcèlement en ligne est un délit puni de deux ans de prison et de 30 000 euros d’amende.
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